Ecriture /poésie

Tant que l'océan soit la devant moi, je réussirais mais je me suis accroché à toi comme on s'accroche à une bouée dans la mer et que les vagues sont au dessus de toi et qui te noie, tu as était ma drogue, ma joie mais aussi mes pleures tu m'as laissé, tu es parti .... Mais je n'ai jamais douté que tu ne m'aimais plus. Bien sûr je t'ai hait plus que tout, j'ai déprimé de ton absence et quand j'ai appris que tu allais te marier, tout sa était finie. Je me rappelle de cette nuit là, il pleuvait des trompes dehors et mon parapluie rouge était dans ma voiture, tu m'avais appelé sa faisait plus de 8 mois que je n'avais pas attendu ta voix, j'étais heureuse, je m'étais habillé de ma superbe robe rouge que tu aimais tant, je suis montée dans ta voiture, tu étais en retard sa faisait 2 heures que je t'attendais sous la pluie. Tu me regardais, moi frissonnante de froid je m’étais de l'eau partout sur ton siège. Il m'a donné sa veste (que j'ai encore d’ailleurs) il a démarré et à regardé droit devant lui. Il a parlé d'un ton sérieux :
- Il faut que je te dise ... quelque chose. Mélanie écoute il faut que tu partes ? Tu comprends ? Je vais me marié, dans le coffre de la voiture il y a une valise. Tu as des vêtements dedans, de l’argent, une clé de voiture et une clé d’appartement.
Puis tu m’as déposé dans un aéroport et nous nous sommes quittés.

Alors je suis resté la avec le billet d'avion dans la main en regardant la destination : Paradisia. Je ne connaissais pas cette île, jusque c'est une île sans plus, il avait choisit un endroit loin de paris c'est sûr. Alors moi Mélanie 22 ans ayant passé toute sa vie à Paris à eu son bac de littérature. J'avais commencé à faire mes études de journaliste. Et la je quitté tout à cause de l'amour de ma vie je l'ai connu il y a 17 ans de cela j'avais donc 5 ans, lui et moi étions entrain de joué dans le parc et il m'avait mis du sable dans la bouche et rit pendant une heure jusqu'à que je m'étais mise à hurler. Puis mes parents son mort et sa mère la meilleure amie de ma mère ma adoptait et j'ai vécu avec lui, il a était la pendant mon adolescence m'a vu grandir à connu mes premiers petits copains mais au fonds je l'ai toujours aimé certes lui il a beau avoir 5 ans de plus que moi je l'aime et c'est comme sa. Maintenant je me retrouve dans un avion au dessous de l'océan Atlantique. Je m'en foutais de son argent tant que lui était avec moi, je me rappelais la première fois que je l'avais appelé par son prénom. J'étais encoléré contre lui je l'ai regardé est dit :
- ERIC !!!! Comment t'as pu ! Sa ne te regardais pas. A l'époque j'avais 15 ans et il avait lu mon journal intime. J'étais hors de moi.
Aujourd'hui je me suis promis de changé.
2 ans plus tard.
Aujourd'hui je suis rentrée à Paris pour la première fois depuis 2 année, j'avais passé mon concoure pour devenir journaliste et j'allais passer 2 mois à Paris pour me récompensé de l'avoir gagnée au la main. J'avais peur de le revoir je savais qu'il s'était marié il y a 1ans de cela. Moi je suis fiancée et fière de l'être, Rudy est si formidable avec moi il a réussi à me le faire oublier et pourtant je pense à lui encore des fois. Je me promène pour retrouvé Rudy à l'a tour Effel, je marche vers sa direction ma main gauche dans ma poche ma main droite lui faisant coucou. Lui il me regarde, moi et ma bague. Ce magnifique anneau qu'il m'avait offert, elle avait le tour en or au-dessus un étincelant diamant blanc au reflet rose. Nous sommes partis chez Elise, ma maman adoptif, elle n’avait pas tellement changé, elle avait juste vieillit. Elle m’a tenu un long discours qui plus tard m’a bien fait déprimer.
-tu sais ma chérie Eric est marié Julie est formidable, elle vient me voir tous les jours. Elle est décoratrice dans une entreprise privée et sa famille est si formidable et si connue. M’avait t elle chantée pendant une heure à chaque moi qu’elle m adressé les paroles.
Puis j’ai compris pourquoi, elle me prévenait d’un sens j’ai toujours su qu’elle ne m’aimait pas, elle m’avait adopté car ma mère l’avait supplié. Puis sa l’a rangé que son fils chéri s’était marié à la fille du président de France. Bon j’avoue sur le moment je ne comprenais pas pourquoi, mais j’ai une lueur d’espoir qu’il avait fait sa pour sa mère. Nous sortions de l’immeuble d’Elise et Rudy demande.
-tu l’aime encore ?
Tournant la tête, je le regarde surprise. Lui qui n’avait rien dit depuis 2 ans commençait en avoir assez de tout sa et pourtant je sais qu’il m’attendra mais moi ?

Après cette question nous somme parti chacun de notre coté, moi me promené sur la seine comme quand j’étais jeune, lui sans doute à l’hôtel. Au fond je ne l’ai jamais oublié, je l’aime comme ma propre vie et j’vais envie de le hurler, de le crier, d’en pleurer mais je me suis assise en plein au milieu du trottoir et j’ai regardé les passant pressé de passé. Et je me suis rappelé de notre endroit secret alors j’ai marché jusqu’ au notre ancien immeuble, j’ai escaladé la façade pour atteindre l’un des escaliers suspendu dehors comme dans les anciens immeubles américain. Sur le toi en haut une ancienne bâtisse faite de baie vitrés et de pierre je la rouvrir sans aucun problème pris mn ancienne couverture et m’endormi par terre. Vers 2 heures du matin, quelqu’un me secoue, endormi profondément je ne me réveille pas mais je sens que cette personne me porte, un bruit de claquement d’une portière de voiture, sa voiture je reconnu le bruit, je souris dans mon sommeil. Je me réveille sur un lit en drap de cachemire, lui assis sur un fauteuil me regardant en me toisant.
-Qu’est ce que tu fais la ? Demanda-t-il
- Ben moi je ne sais pas, j’étais dans notre cachette secrète et la je suis la, répondis je.
Lui est énervé plutôt disons tendu, m’explique t’il en quelque mot. Il m’a trouvé de notre cachète et m’a ramené dans son appartement, enfin ancien appartement d’après ce que je compris… Je lui dis que je devrais partir mais il ma retenu. Il ma regarde droit dans les yeux.
-En te portant me dit t’il j’ai remarqué quelque chose d’anormal, quand tu dors tu respire anormalement, et ta peau deviens toute mauve, je pense que tu as un problème au cœur !
Je me rappelle maintenant c’est vrai il est chirurgien-cardiologue, surprise je le regarde.
-Je pense que tu as un petit trou dans une de tes valves, continue-t-il. Mais n’est pas peur sa se soigne très bien rajoute t’il en me voyant ahuri.
-Je dois partir, vraiment parti répondis je d’une voix tremblante.
Je cours vers la porte j’ai eu juste le temps de l’entendre crier :
-Va voir un médecin.
Apeuré je parti à l’hôtel à pieds, en rentrant je fondis en larmes dans mon lit .Rudy me trouva là comme sa et il me promit qu’on retournerait à Paradisia, j’accepte bien sûr .Tout ce que je veux la c’est partir, pour ne plus revenir. Mais là je ne savais pas encore que ma vie allais finir dans cette misérable ville de brume, cette tour dorée que j’avais ton aimée dans mon enfance. Alors dans mon fameux lit d’hôtel, je pleure de toutes mes larmes pour la dernière fois parce que je sentais que j’allais être mis à l’épreuve mais que j’ai encore la tête haute. Mais bien je n’oublierais pas. Alors je me suis rappelé une phrase que m’avait dite Rudy quand il m’avait demandé de sortir avec lui. Tant que l'océan soit la devant moi, je réussirais mais je me suis accroché à toi comme on s'accroche à une bouée dans la mer et que les vagues sont au dessus de toi et qui te noie, tu as était ma drogue, ma joie mais aussi mes pleures tu m'as laissé, tu es parti .... Il m’avait décris sa relation avec une de ces amies à lui, mais j’avais très bien compris qu’il parlait de moi et d’Eric.

Tant que l'océan soit la devant moi, je réussirais mais je me suis accroché à toi comme on s'accroche à une bouée dans la mer et que les vagues sont au dessus de toi et qui te noie, tu as était ma drogue, ma joie mais aussi mes pleures tu m'as laissé, tu es parti .... Mais je n'ai jamais douté que tu ne m'aimais plus. Bien sûr je t'ai haït plus que tout, j'ai déprimé de ton absence et quand j'ai appris que tu allais te marier, tout sa était finie. Je me rappelle de cette nuit là, il pleuvait des trompes dehors et mon parapluie rouge était dans ma voiture, tu m'avais appelé sa faisait plus de 8 mois que je n'avais pas attendu ta voix, j'étais heureuse, je m'étais habillé de ma superbe robe rouge que tu aimais tant, je suis montée dans ta voiture, tu étais en retard sa faisait 2 heures que je t'attendais sous la pluie. Tu me regardais, moi frissonnante de froid, je mis de l'eau partout sur son siège. Il m'a donné sa veste (que j'ai encore d’ailleurs) il a démarré et à regardé droit devant lui. Il a parlé d'un ton sérieux :
- Il faut que je te dise ... quelque chose. Mélanie écoute il faut que tu partes ? Tu comprends ? Je vais me marié, dans le coffre de la voiture il y a une valise. Tu as des vêtements dedans, de l’argent, une clé de voiture et une clé d’appartement.
Puis tu m’as déposé dans un aéroport et nous nous sommes quittés.

Alors je suis resté la avec le billet d'avion dans la main en regardant la destination : Paradisia. Je ne connaissais pas cette île, jusque c'est une île sans plus, il avait choisit un endroit loin de paris c'est sûr. Alors moi Mélanie 22 ans ayant passé toute sa vie à Paris à eu son bac de littérature. J'avais commencé à faire mes études de journaliste. Et la je quitté tout à cause de l'amour de ma vie je l'ai connu il y a 17 ans de cela j'avais donc 5 ans, lui et moi étions entrain de joué dans le parc et il m'avait mis du sable dans la bouche et rit pendant une heure jusqu'à que je m'étais mise à hurler. Puis mes parents son mort et sa mère la meilleure amie de ma mère ma adoptait et j'ai vécu avec lui, il a était la pendant mon adolescence m'a vu grandir à connu mes premiers petits copains mais au fonds je l'ai toujours aimé certes lui il a beau avoir 5 ans de plus que moi je l'aime et c'est comme sa. Maintenant je me retrouve dans un avion au dessous de l'océan Atlantique. Je m'en foutais de son argent tant que lui était avec moi, je me rappelais la première fois que je l'avais appelé par son prénom. J'étais encoléré contre lui je l'ai regardé est dit :
- ERIC !!!! Comment t'as pu ! Sa ne te regardais pas. A l'époque j'avais 15 ans et il avait lu mon journal intime. J'étais hors de moi.
Aujourd'hui je me suis promis de changé.
2 ans plus tard.
Aujourd'hui je suis rentrée à Paris pour la première fois depuis 2 année, j'avais passé mon concoure pour devenir journaliste et j'allais passer 2 mois à Paris pour me récompensé de l'avoir gagnée au la main. J'avais peur de le revoir je savais qu'il s'était marié il y a 1ans de cela. Moi je suis fiancée et fière de l'être, Rudy est si formidable avec moi il a réussi à me le faire oublier et pourtant je pense à lui encore des fois. Je me promène pour retrouvé Rudy à l'a tour Effel, je marche vers sa direction ma main gauche dans ma poche ma main droite lui faisant coucou. Lui il me regarde, moi et ma bague. Ce magnifique anneau qu'il m'avait offert, elle avait le tour en or au-dessus un étincelant diamant blanc au reflet rose. Nous sommes partis chez Elise, ma maman adoptif, elle n’avait pas tellement changé, elle avait juste vieillit. Elle m’a tenu un long discours qui plus tard m’a bien fait déprimer.
-tu sais ma chérie Eric est marié Julie est formidable, elle vient me voir tous les jours. Elle est décoratrice dans une entreprise privée et sa famille est si formidable et si connue. M’avait t elle chantée pendant une heure à chaque moi qu’elle m adressé les paroles.
Puis j’ai compris pourquoi, elle me prévenait d’un sens j’ai toujours su qu’elle ne m’aimait pas, elle m’avait adopté car ma mère l’avait supplié. Puis sa l’a rangé que son fils chéri s’était marié à la fille du président de France. Bon j’avoue sur le moment je ne comprenais pas pourquoi, mais j’ai une lueur d’espoir qu’il avait fait sa pour sa mère. Nous sortions de l’immeuble d’Elise et Rudy demande.
-tu l’aime encore ?
Tournant la tête, je le regarde surprise. Lui qui n’avait rien dit depuis 2 ans commençait en avoir assez de tout sa et pourtant je sais qu’il m’attendra mais moi ?

Après cette question nous somme parti chacun de notre coté, moi me promené sur la seine comme quand j’étais jeune, lui sans doute à l’hôtel. Au fond je ne l’ai jamais oublié, je l’aime comme ma propre vie et j’vais envie de le hurler, de le crier, d’en pleurer mais je me suis assise en plein au milieu du trottoir et j’ai regardé les passant pressé de passé. Et je me suis rappelé de notre endroit secret alors j’ai marché jusqu’ au notre ancien immeuble, j’ai escaladé la façade pour atteindre l’un des escaliers suspendu dehors comme dans les anciens immeubles américain. Sur le toi en haut une ancienne bâtisse faite de baie vitrés et de pierre je la rouvrir sans aucun problème pris mn ancienne couverture et m’endormi par terre. Vers 2 heures du matin, quelqu’un me secoue, endormi profondément je ne me réveille pas mais je sens que cette personne me porte, un bruit de claquement d’une portière de voiture, sa voiture je reconnu le bruit, je souris dans mon sommeil. Je me réveille sur un lit en drap de cachemire, lui assis sur un fauteuil me regardant en me toisant.
-Qu’est ce que tu fais la ? Demanda-t-il
- Ben moi je ne sais pas, j’étais dans notre cachette secrète et la je suis la, répondis je.
Lui est énervé plutôt disons tendu, m’explique t’il en quelque mot. Il m’a trouvé de notre cachète et m’a ramené dans son appartement, enfin ancien appartement d’après ce que je compris… Je lui dis que je devrais partir mais il ma retenu. Il ma regarde droit dans les yeux.
-En te portant me dit t’il j’ai remarqué quelque chose d’anormal, quand tu dors tu respire anormalement, et ta peau deviens toute mauve, je pense que tu as un problème au cœur !
Je me rappelle maintenant c’est vrai il est chirurgien-cardiologue, surprise je le regarde.
-Je pense que tu as un petit trou dans une de tes valves, continue-t-il. Mais n’est pas peur sa se soigne très bien rajoute t’il en me voyant ahuri.
-Je dois partir, vraiment parti répondis je d’une voix tremblante.
Je cours vers la porte j’ai eu juste le temps de l’entendre crier :
-Va voir un médecin.
Apeuré je parti à l’hôtel à pieds, en rentrant je fondis en larmes dans mon lit .Rudy me trouva là comme sa et il me promit qu’on retournerait à Paradisia, j’accepte bien sûr .Tout ce que je veux la c’est partir, pour ne plus revenir. Mais là je ne savais pas encore que ma vie allais finir dans cette misérable ville de brume, cette tour dorée que j’avais ton aimée dans mon enfance. Alors dans mon fameux lit d’hôtel, je pleure de toutes mes larmes pour la dernière fois parce que je sentais que j’allais être mis à l’épreuve mais que j’ai encore la tête haute. Mais bien je n’oublierais pas. Alors je me suis rappelé une phrase que m’avait dite Rudy quand il m’avait demandé de sortir avec lui. Tant que l'océan soit la devant moi, je réussirais mais je me suis accroché à toi comme on s'accroche à une bouée dans la mer et que les vagues sont au dessus de toi et qui te noie, tu as était ma drogue, ma joie mais aussi mes pleures tu m'as laissé, tu es parti .... Il m’avait décris sa relation avec une de ces amies à lui, mais j’avais très bien compris qu’il parlait de moi et d’Eric.

Chapitre 3 : Le Bonheurs des nouvelles …
Nous somme à Paradisia, près de l’aéroport nous avons fait un long voyage je suis épuisé, Rudy l’a bien compris puisqu’il m’a laissé tranquille. En arrivant à la maison je lui dis que il faut que j’aille voir un médecin, il est curieux je le sais mais a rien demandé et je lui en remercie. J’ai envie d’oublier, de tout oublier de ces yeux bleus si doux quand il se posait sur moi, de ces mains tendre qui me caressait mon visage, de ces parole que je chérissait plus que tout … J’attends que tout sa part mais rien ne se passe , pourtant. Alors tranquillement je me suis allongé sur mon lit et Rudy ma rejoint et me dit doucement dans le creux de l’oreille « Les seuls choses qu'on ne regrette pas sont celles qu'on fait avec notre cœur. Ne regrette pas, si tu as des regrets, rappelle toi qu'à un instant précis, c'étais exactement ce que tu voulais. » Et je comprends que je dois aller vers le présents oublier le passé. Partir et ne pas me retourner.
8mois et 4 jours plus tard…
Je suis allé au médecin mais je n’avais rien de grave au contraire je portais un heureux événement, une petite fille que je donnerais comme prénom Esméralda. Mais à partir de mon sixième mois j’ai du quitté Paradisia, ma grossesse devenait dangereuse. Je me suis donc exilée dans un petit appartement à Paris dont je ne sortais que pour allait au marché et passé mes examens. Tout ce passe bien pour l’instant mes les docteurs ont peur que mon cœur lâche, je ne compris rien d’extraordinaire à ce qu’on m’expliquer juste que une de mes veines ou quelque choses comme sa pourrait effectivement avoir un petit trou. Bien sûr l’inquiétude me guète. Mais j’ai bien vite appris, que le destin vous réservez bien des choses. « Je croyais pouvoir t'oublier, Je croyais pouvoir de toi me passer, Mais je me suis trompée, Bienvenue dans la réalité… Cette page à demi tournée, Ce livre non achevé, Cette plaie non refermée, Cette blessure non cicatrisée… Les pages tournent avec le vent, On revient en arrière, on se projette en avant. Tu es le seul à pouvoir me guérir. De ce vide qu'on a laissé grandir. » Ce matin en me réveillant, cette citation ne quittais pas un instant, et je compris pourquoi. En ouvrant ma porte pour chercher mon courrier je suis tombé sur un coursier qui m’apportait des fleurs. Je le remercie, signant son papier, je parti prendre mon courrier puis je suis remonté en haut. Je regarde le mot sur la carte dorée. « L'amour c'est : On se veut et on s'enlace, puis on s'en lasse et on s'en veut. » Agacée je voulu savoir qui me l’avait envoyé. Mais je sais tout au fond, alors ma pensé parti vers un fameux été « Il faisait froid pour un été, et j’avais faim, j’étais encore dans ma chambre assise en tailleur hurlant sur Eric pour qu’il baisse sa maudite musique rock. Lui arrivant dans ma chambre en short, torse nue, me souriant, c’était comme sa depuis hier soir, allé savoir pourquoi. Il m’agacé, il s’approchait de moi alors il me regarda droit dans les yeux et m’embrassa sur la bouche tendrement mais furtivement. » Notre premier baiser, mon premier baiser. Il m’avait dit cette fameuse citation puis était parti comme sa souriant. Donc il m’a envoyé des fleurs, comment savait il ? Je dépose les fleurs dans un vase souriante, découvrit mon courrier. Je reçu une lettre tellement belle que mes larmes coulent. Je me promis à moi-même que personne allait la voir enfin pas pour l’instant alors, j’ai ris toute seul. Il ne m’a pas oublié, la chose la plus belle qui soit il ne m’a pas oublié. C’est tellement beau. Il ne devrait pas le savoir, mais moi non plus je ne l’ai pas oublié. Mais je me posais une question : « Comment avait il su ? ». La question me reste prise dans la gorge.

A venir :D